1934. « Cher Clément, j’ai appris cette triste nouvelle… la perte d’un enfant nouveau-né est toujours un drame. Je m’associe à votre douleur, Gabrielle et toi, ainsi que le petit Auguste ! ». C’est par ces petits mots que Georges Vivant, l’ami de Clément introduit sa lettre du 11 octobre 1934. Le deuxième rendez-vous prévu fin octobre au… Lire la suite Georges VIVANT et la culture du tabac à St Julien